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CAMPUS CRÉATIF D'ART DANS LA NATURE 14/18 SEPTEMBRE 2021- PRINCIPINA A MARE

Un projet de recherche et de création d'Art dans la Nature qui se concentre sur les relations et les attractions entre le théâtre, les arts visuels, la photographie, l'art vidéo, la science, l'environnement et le paysage, à la recherche de nouvelles visions et territoire transversal de nouvelles façons de l'habiter et de le valoriser .

Groupe VIRUS : La nature n'est pas indifférente - installations artistiques - de Giulio Ceraldi, Consuelo Chierici, Stefano Desantis, Giancarlo Savino.

La nature n'est pas indifférente, elle fait partie intégrante de la planète. L'homme peut gouverner, mais il ne peut pas toucher à ce qu'est la nature. Harmonie, répartition, nutrition. L'homme ne peut pas se passer de la nature.

Vidéo

Musée Urbain des Arts

Un projet de découplage stratégique des structures fermées, isolées et en quelque sorte étrangères à la ville, telles que les galeries, les musées, les fondations, etc. ... pour placer la créativité expressive, en plein dans le tissu urbain. Il ne s'agit pas simplement de placer une sculpture contemporaine sur une place, même si cela n'a pas été réalisé à Rome, mais plutôt de proposer des parcours de réflexion à travers des œuvres d'art.

Les portes du futur

Le projet prévoit de mettre en place un véritable centre opérationnel d'éducation visuelle. Le but est de faire prendre conscience de l'art et de la beauté et de sa diffusion en tant que sentiment. C'est une manière différente de faire de la didactique, une vision dynamique et innovante capable de former non seulement une manière pratique de faire, mais aussi le début d'un chemin qui aura pour fin l'éducation à la « beauté » et, par conséquent, un début respecter toutes les expressions artistiques des nouvelles générations.

Corviale frates, entre mémoire et contemporanéité

Dans la formulation du projet, nous avons examiné l'aspect historique du territoire. A partir de la présence du peuple Arvali qui vivait entre Corvial et Magliana. Une domination et une culture qui, dirigée par Romulus lui-même, seront alors la pierre angulaire de la Rome impériale qui dominera le monde pendant des années.

Réalisez un projet qui puisse mettre en lumière les racines culturelles de la région, avec des œuvres d'art et de décoration qui puissent donner l'émotion et le sens de la beauté auxquels chacun a droit.

De plus, travaillez avec des déchets. Ces déchets produits par une consommation inutile, qui même dans des situations de dépression économique, ou peut-être à cause de cela, viennent inonder l'œil, nous ont semblé un bon début.

Mourir n'est pas un inconvénient

La crise économique et financière fournit un alibi irréprochable à la disparition des commandes publiques dont les racines sont avant tout culturelles, comme en témoigne le manque de formation artistique de la plupart des hommes politiques, élus et fonctionnaires ; il suffit de regarder les décorations urbaines modernes qui « embellissent » les places et les jardins italiens ; ou l'utilisation indiscriminée de l'art de la rue comme couverture artificielle de la décadence urbaine, désormais fonctionnelle à l'inertie institutionnelle dans le maintien des affaires publiques, et en fait complice de son égocentrisme.

On se demande pourquoi les artistes d'aujourd'hui ne sont pas appelés à apporter leurs idées et leur imagination ; pourquoi, par exemple, ils ne sont pas impliqués dans un processus de réhabilitation émotionnelle de la mort, de célébration du grand final de l'humanité.

A eux, aux artistes, pourraient être confiés la requalification sentimentale des chambres mortuaires dans les hôpitaux, l'accueil spirituel de ceux qui y passeront, la consolation que seul l'art, non parce qu'il est beau mais parce qu'il est utile, peut donner à la douleur.